A cheval sur les vagues... [ Pv Mélissande ]

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

Sur le soleil qui commencait lentement à descendre dans le ciel, il y avait une frme qui se détachait de ce ciel illuminé, tel une ombre chinoise indomptée. C'était un couple. L'un foulait les vagues d'eau salées qui venaient s'échouer sur le sable fins, alorsque l'autre, juché sur son dos, regrdait l''horieon, ses cheveux au vent. C'était un cheval, et son cavalier. Un beau lusitanien, à l'allure à la fois massive mais harmonieuse, et son cavalier, profitant des rares moments où la vitesse le grisait. Le seul sport qui donnait de la vitesse, c'était la course. Et pour les courses hippiques, il fallait se maintenir sur ses jambes. Et les jambes de Lorenzo étaien en grève à jamais. Mais, ça qui aurait pu le dire, en le voyant là , faire tournoyer son cheval dans une magnifique reprise de dressage improvisée ?

Nombre de messages : 59 Age : 30 Date d'inscription : 08/06/2008

Mélisande se balladais sur la plage. Ses pieds nues se faufilait dans le sable frais. Elle entendit un voix douce lui murmurer des paroles agréable. Une chanson dont-elle continua le profond murmure.
Elle entendit valser dans sa mélodie le cliquetit réguliers de quatre fer en aciers. Elle s'approcha et vie une somptueuse reprise de dressage faite avec brio. Mais dans se cortège équins se mellait pour elle mille et une couleurs explosant dans le paysage. Elle souriat et se mit a applaudir a la fin de la reprise avec un large sourire inabituelle.

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

Emperor était concentré, attentif à ce cavalier si délicat sur sa bouche, et sans aucune action de jambes ! Oh merveille ! Emperor pouvait alors révéler tout son rafinement et exprimer pleinement son art. Lorenzo l'arrêta finalement face à la mer. Quelqu'un applaudit. Lorenzo n'aimait pas tellement qu'on l'applaudisse, mais là, il était quand même content de lui. Aux applaudissement, Emperor tourna brusquement la tête en ronflant. Mais au lieu de faire comme la plupart des cavaliers auraient fait, c'est-à-dire un coup de talons pour faire redémarrer le cheval avant qu'il ne vous embarque, le stick de dressage entra doucement en conact avec le peau de Emperor, et l'étalon redémarra. Lorenzo l'amena face à la jeune fille et le fit saluer magnifiquement.

- On salue les demoiselles, Emperor, quand on est un vrai Gentleman !

Nombre de messages : 59 Age : 30 Date d'inscription : 08/06/2008

Le cheval l'avait saluer elle en était contente. Dans sa ferme le cheval le mettait a terre et se foutait de sa pauvre poire. Il riait a deux mais sa elle n'avait jamais vu. Elle vit le cavalier être en désacord avec ses applaudissement non calculer pour une fois. Elle prit osn aire froid et distant pour se remettre en position de calculatrice .
Le cheval parcontre lui faisait de l'oeil elle adorait jouer avec eux mais maintenant seul l'écho de la mer l'enivrait. Plic plac ploc faisait les gouttes de pinceaux qui colorait la mer. Hi Ha Hoooo faisait les créaturs imaginaires. Et D'une voix amicale elle répondut.
" Vous savez se n'est pas grave !"
Elle regarda le cheval amicalement même si regerd était de glace quelque chose chez elle brillait bien cacher tout au fond.

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

Lorenzo lui sourit. Comme ses yeux étaient froids. C'était triste à voir. Toute une gaité perdue. Mais pas perdue. Au fond de ces yeux froids, on voyait une lueur, une flamme de joie qui ne demandait qu'à s'épanouir. Il fait tourner le cheval de 90° et dis gentiment à la jeune femme :

- Un eptit galop, ou vous préférez que ce soit moi qui descende ?

Il lui sourit. Son sourire était simple, gentil et surtout, sincère. lorenzo ne supportait pas les hypocrites.

Nombre de messages : 59 Age : 30 Date d'inscription : 08/06/2008

( répond vite a la bourre sorry =D )

Elle accepta l'offre et monta sur la croupe de l'étalon elle laissa passer main sur le ventre du jeune homme. Prudence était mère de sureté et sa vallait ainsi. Autement elle se serait mis debout sur le cheval elle s'en fichait mais la son coeur battait la chamade mais elle ensavait pas pourquoi ?

( Nan pas de l'amour Rolling Eyes

)

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

Le stock toucha délicatement l'épaule de l'étalon et le changement d'assiette lui indiqua qu'il fallait avancer. Il partit d'abord au pas, un instant au trot assit puis au petit galop. Lorenzo le fit galoper à côté des vagues pour éviter de mouiller son invitée. Il profitait de l'instant présent, et cette scène le fesait penser à autrefois, auprès de...
L'étalon s'ébroua. C'était une merveille, cet étalon. Le temps était au beau fixe et on aurait pu croire à un couple d'amoureux en les voyant galoper comme cela. Pour terminer ce galop en beauté, Lorenzo fit éxécuter un piaffer somptueux à Emperor. Puis, il revint vers leur point de départ toujours au galop, ralentissant au pas à la fin. Une fois arrivé dans un endroit sec et sans risque, il toucha le poitrail de Emperor, qui plia immédiatement les antérieurs, puis les croupe, et l'étalon se coucha en mode chameau xD.
Il laissa la jeune femme descendre puis, avec ses mains, ôta ses étriers, et grâcxe à ses bras et son appareil orthopédique, il s'assit entre le cheal et la jeune femme.

* Saleté de jambes, va. * pensa-t-il. Des fois, il avait envie de pouvoir marcher.

Nombre de messages : 59 Age : 30 Date d'inscription : 08/06/2008

Mélisande sentais le vent fouetter son visage. Le sable qui courrait derrière virvoletait de toutes les couleurs des arc en ciel de nuances. Un vraie tableau se déssinais derrière eux. Elle se détentit se laissant aller dans les mouvement du cheval laissant sortir un fint rire.
Elle descendut du dos du bel étalon gris pour se mettre assis dans le sable son short en jeans avec els bord en ficelle et sa tenue été lui donnait un peu froid.
Un sourire confiant se posa sur ses lèvres entre ouverte. elle ne fut pas surprise de voir qu'il ne pouvait pas faire usage de ses jambes. elle l'avait senti dans le grand frisson de leur ballade. Ses jambes semblait si raide derrière lui pourtant d'un souplesse incontestable s'émanait d'elle. De plus ce jeune homme relacher une forte chaleur et peut être souffrance ?
Elle sourit son hadicap ne lui faisait rien dans son regard on en voyais rien juste qu'elle le trouvait normal. Aucun pitier ni froideur envers sa ni aucun mépris rien de tout cela.
Elle voulut dire une chose absurde qui sorti malgré elle:
"Je sais que sa parait bête mais moi aussi je enfin...
J'ai un fantasme vous savez ... devenir normal sans ... sans ces ... Rhooo...
Je suis sure que vous vous demandez se que je pense du regard que je vais vous jeter de la manière dont je vais réagir sa parait normale pourtant sa doit être comment dire .. Tellement triste de réflechir ou même penser que pense-t'il ? Je ne sais pas si vous avez peur de votre prochain ou si le temps vous a convaincu de certains jugement a vraie dire j'en sais rien ..."

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

Lorenzo sentit dans son regard une certaine chaleur humaine, mais rien de ce qu'l voyait habituellement chez les gens : de la froideur, du mépris, ou de la pitié. Non, cette jeune fille le considérait comme un être normal. il en soupira d'aise. Les propos de la jeune fille lui apparurent d'abord très confus. Il ne saisissait pas ce qu'elle voulait dire. C'était flou, limite incompréhensible à la première écoute. Il eu un sourire et réfléchit un instant. En se remémorant les dires de la jeune femme, il comprit en partie. sauf la première phrase. quelque chose lui échappait.

- Je n'ai pas peur de mon prochain. Mais vous savez, quand on a subit toute son adolescance des regards insistants, moqueurs,... on se demande à chaque fois si l'autre ne va pas vous repousser.

Essayant de penser à autre chose, il regarda le soleil. Comme un peintre changeant chaque jour son oeuvre, le soleil se colorait d'oranges et de bleus somptueux. Le cheval s'était couché en vache et regardait la mer, les yeux mi-clos. Lorenzo prenait appui sur ses deux bras, tendus derrière lui.

Nombre de messages : 59 Age : 30 Date d'inscription : 08/06/2008

Un silence de mort laissa un blanc aprécier des deux jeunes gens... Chacun leur silence enfuit loin derrière eux, leur vie , leur amies , leur famille. Tout était dérrière, loin d'eux pourtant certains disent personne n'est vraimment loin il suffit de savoir que la distance n'est que subjetive...
Elle voulu rajoyté quelque chose , y réfléchit et commenca a articuler sa pensée.
" Je peux comprendre ... Même trop bien vous savez ... enfin non vous en savez pas et moi non plus et je pense que..."
Elle ne fit pas sa phrase et enfouie sa tête dans ses genoux et ses bras ses cheveux cachant son visage une lourde pensé l'envahi l'espace devant roque lourd.
* c'est mieux .... AINSI *
La petite française se mit a marmonner un vieille chanson américaine, celle ou parole triste et avec un sens noirâtre qu'il ne veule parfosi rien dire.L'étalon lui coucher en vache semblait ne rien faire. Pourtant une espèce d'osmos règnait.....
Elle n'avait pas d'esprit sain, lui n'avait pas de moyen de locomotion ... Elle soupira et releva sa tête déposant lourdement le menton sur ses genoux. Pourquoi le monde lui en voulait -en ? Sa mère ... qu'elle non elle ne dirait jamai sons secret a personne jamais, jamais jamais ....

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

Lorenzo entendit la vieille chanson américaine. Ah ! cette chanson lui foutait le blues.

- Vous savez, quand j'ai eu mon accident, j'ai cru tout d'abord que je serais à jamais un légume pâle comme un linge blanc, assis dans son fauteuil et agard toute la journée. Mais lorsque mes parents m'ont offert une chasie roulante comme les paralympiques et un appareil orthopédique à la pointe de la technologie et que mon père m'a inscrit à des cours de rééducation à cheval, j'ai retrouvé un espoir. J'ai progressé très vite et me suis classé premier dans des concours de dressage pour gens normaux sans qu'aucun des juges sache jamais que j'étais handicapés. J'ai rencontré des handicapésbien plus grave que moi, qui, par leur volonté, sont arrivés au plus haut niveau en divers sports paralympiques. Alors, j'ai comprit une chose : peu importe le problème, il ne tient qu'à nous de s'en sortir.

Il regarda l'horizon d'un regard doux. Il était bien, sur cette plage.

Nombre de messages : 59 Age : 30 Date d'inscription : 08/06/2008

Elle écouta se que lui narra le jeune homme et émit un énorme fou rire.
Elle lui lancat un sourire chaleureux séchat ses larmes. Et mit ses cheveux en arrière.
" Moi je ne sais pas enfin depuis quand je suis comme je suis, j'ai toujours vécut dans l'ombre de cette enfin ... Je suis tombé bien bas, alcool, drogue, dépression et ... J'en suis sorti j'ai chassé la plus part de mes démons... Je suis se qu'on appelle schizophrène, j'entend des voix, je vois des choses que mon esprit me fait voir et j'ai une autre... J'ai vécut dans l'ombre de mon autre je n'était rien que celle qui prenait la place mais elle m'a tout pris, amour, vie , ecole, il ne me restais rien ... Juste ma maladie et mes démons... Un jour enfin non sa je ne peux pas vous le dire sinon je vais encore me retrouvée seule tellement seule même si Petite Lune someille en moi un jour vous la verrez et vous aller surement la préférée a moi j'en suis sur ne vous inquiéter pas j'ai l'habitude juste une chose ne lui dite pas que j'existe je dois rester l'ombre..."
Ellle se releva et regarda la mer avec mépris. elle revenait repartais c'était insenser... La deuxième fois qu'elle la voyait. Soudain elle senti un mal de crâne terrible lui opreser la tête elle fermi les yeux douloureusement mit ses main sur sa tête suffoqua un peu tomba à genoux.
Les voix lui parlait. elle lui dictait sa conduite ? Qui sais.
* Les voix: Tues-le ! Il en sait trop ! Tues le tu l'as déjà fait c'est facile.
Elle: Non non non taisez vous.
Les voix: On ne se taira jamais si tu ne reprends pas tes petites pillules.
Elle: Non je ne veux pas je ne veux plus s'ouffrir ...
Les voix: Alor s'ouffre inconsciente.*
Les petites être se mirent a courire et a venir de partout les yeux de la jeune femme s'arrondire et en les voyant elle eclata en sanglot. Elle sentait si faible ....
La jeune femme se rapprocha de la mer y entra marcha j'usqu'a se que l'eau lui atteigne le bassin elle se sentais bien la l'eau la rafraichissait j'usqu' a se qu'elle sente un vague de spasme l'envahir la tête lui tournée et qu'elle tomba dans els pommes.

Nombre de messages : 132 Age : 30 Date d'inscription : 10/05/2008

- Bon Dieu, c'est pas vrai !

L'adhrenaline ? Peut-être. En un sursaut des bras, Lorenzo était en selle. Il accorcha ses étriers en triple vitesse et Emmperor se mit debout. Le stick claqua et l'étalon entra dans l'eau en hennissant. Impossible de dire si elle était froide, Lorenzo ne sentait plus ses jambes. Lorsqu'enfin l'eau atteignit son bassin, il sentit qu'elle était fraîche, mais pas gelée. Lorsqu'il arriva à hauteur de la jeune femme, celle-ci avait presque coulé. Il lui attrppa le bras - dernier morceau qui dépssait de l'eau - et la hissa devant lui, entre l'encolure du cheval et lui. Il la remit droite, de façon à éviter que l'eau qu'elle avait absorbé ne remonte et l'étouffe. elle vivait encore, heureusement. Emperor comprit qu'il fallait retourner vers la plage et y fut en deux minutes. Il était fatigué, dégoulinant se laissa tomber sur le sable en soufflant. Lorenzo extirpa la jeune femme qui toussait et l'appuya contre le cheval. Il préféra rester en selle, car il commencait à fatiguer ^^